Tagged Christophe | Stolowicki

Éric Houser : Mouvement perpétuel

  par Christophe Stolowicki De sécheresse aimantée, d’imperceptible grasseyement, éclair de gouaille mais substantielle ; de rhapsodie urbaine qui droit dans l’arrière des yeux d’un regard lourd de temps brassé ne vous lâche que pour vous reprendre sur un autre mode, figure, trope ; de lucidité dans l’asphyxie citadine, en mouvements de rupture et de répétition symphoniques …

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Laurent Tailhade : Au pays du mufle

  par Christophe Stolowicki Quand le bourgeois, petit ou grand, dit « le mufle », dit « le groin », dit « le calicot », dit « maupiteux […] L’andouille », règne en maître – l’escrime verbale appelle en lice un bretteur-ès-lettres qui envoie ses témoins dans les salles de rédaction1. Orfèvre jusqu’au bout des ongles taillés en pointe de sabre au clair, …

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Michel Houellebecq : Non réconcilié

                                                                        1. L’expression, de Jacques Reda, désigne l’élision, suivant la langue parlée, du e à l’intérieur du vers. Ou d’une autre voyelle, Houellebecq poussant la provocation (« C’est la pointe avancée de l’être individuel ») jusqu’à écraser le hiatus d’un mot abstrait. 2. « Dans l’abrutissement qui me tient lieu de grâce ». 3. …

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Passage d’encres, Soleils levants

  Par Christophe Stolowicki Ce numéro spécial de la revue, fervemment préfacé par Martine Monteau, décline plusieurs Japon. Celui de l’avant et de l’après-Fukushima. Le « théâtre tranquille » d’un quotidien étiré zen. La gastronomie concrète de Martine Rousseau. Quelques poètes récents ou contemporains qui renvoient, ne renvoient pas le haïku aux vieux soleils : …

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