par Florence Andoka Joan Miró, Alechinsky, Eduardo Chillida, Antonio Tapiès, Gérard Titus-Carmel, Bram Van Velde, Zao Wou-Ki ; depuis ses œuvres de jeunesse Yves Bonnefoy a lié le cheminement de son écriture à des œuvres plastiques. Faisceau de branches rhizomatiques, écrasées de couleurs aux formes confondues, arbres qui deviennent signes, l’œuvre du peintre d’origine hongroise …
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Yves Bonnefoy : Sur la question du livre / L’écharpe rouge / Ensemble encore
8. Ibid., p. 143. 9. Ibid., p. 162. 10. Ibid., p. 72. 11. Ibid. 12. Yves Bonnefoy, Entretien avec Natacha Lafond et Mathieu Hilfiger sur la question du livre, p. 38. 13. Yves Bonnefoy, L’écharpe rouge, p. 31. 14. Ibid., p. 152-153. 15. Yves Bonnefoy, « Lever les yeux de son livre », Nouvelle Revue …
Yves Bonnefoy : Les planches courbes / L’hésitation d’Hamlet et la décision de Shakespeare
par Philippe Di Meo Traducteur du dramaturge anglais, Yves Bonnefoy a regroupé ses écrits sur Hamlet qu’il a fait suivre d’une Lettre à Shakespeare et de deux entretiens1, comme pour tenter de clore un cercle. Le poète distingue deux niveaux de réalité, celui des affects dans le monde immédiat et celui de l’action dévolue …
Yves Bonnefoy / Gérard Titus-Carmel : Chemins ouvrantTitus-Carmel / Meurice / Le Gac
par Philippe Di Meo Peu de poètes ont autant médité sur les peintres qu’Yves Bonnefoy. Du passé comme du présent. Marik Froidefond retrace avec bonheur ce compagnonnage dans sa préface si circonstanciée, si nécessaire. Le poète critique fait, pour sa part, précéder son texte sur les Feuillées de Gérard Titus-Carmel d’une méditation sur le …
Yves Bonnefoy : Le Siècle de Baudelaire
par Agnès Baillieu Indéniablement, il s’agit d’un livre d’Yves Bonnefoy. La poésie : « La poésie n’est pas la littérature » ; « … la pensée conceptuelle, cet héritage des Grecs et des Romains. Or, je place notre réaction à chacun à cette grande pensée au cœur même du souci de la poésie » ; « … la poésie, ce souvenir du …
Yves Bonnefoy : L’Heure présente / Shakespeare : Théâtre et poésie
par Narciso Aksayam L’eau monte, et que faut-il, dans le jardin d’hiver forgé de formes vaines, faire du pli de nos paupières, battues de lumières trop fortes maintenant, et du tremblement de nos lèvres, incertaines à laisser fuir un souffle qui n’a plus de Saveur que le souvenir ? Des éons semblent s’être éboulés depuis …