par Philippe Di Meo Peu de poètes ont autant médité sur les peintres qu’Yves Bonnefoy. Du passé comme du présent. Marik Froidefond retrace avec bonheur ce compagnonnage dans sa préface si circonstanciée, si nécessaire. Le poète critique fait, pour sa part, précéder son texte sur les Feuillées de Gérard Titus-Carmel d’une méditation sur le …