par Alain Helissen Très tôt commencée, l’œuvre de Yannick Torlini, forte déjà – il est né en 1988 – d’une dizaine d’ouvrages, continue de tarauder le désastre d’un monde jugé sur sa fin. Le texte ici ressemble à une phrase avançant en se répétant partiellement pour se charger progressivement d’autres mots ressassant l’échec, la …
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Yannick Torlini : Seulement la langue, seulement
par Isabelle Baladine Howald Étoile brûlante, pierre de lune Yannick Torlini l’été dernier à Strasbourg lisait des extraits de Seulement la langue, seulement, et j’avais été impressionnée par sa jeunesse, son intensité, la beauté du texte et sa puissance répétitive. Depuis est paru ce livre qui fonctionne comme une spirale, reprenant sans cesse de …
Yannick Torlini : camar(a)de / Un matin tu t’es assise
Par Christophe Stolowicki Le salut par la langue En deux versions, à deux versants, aux deux modes respiratoires du verset et de l’irréversible, sanglées à l’identique de mortvie deux plaquettes complémentaires très (dis)semblables d’un jeune poète donnent une idée de l’étendue de son registre, de sa tessiture de Janus bifax. Dans l’une de page …