par Bertrand Verdier Je demeurerai longtemps errant dans son nom de Roche désert 18 mars 1992 – Dépôts de savoir & de technique La voici en effet, fracassant les arbres, foudroyant les murs2 le voici en effet, fracassant les arbres, foudroyant les murs ous voici en effet, fracassant les arbres, foudroyant les mur La …
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Jean-Marie Gleize : Ces demeures
par Sébastien Goffinet Ces demeures constitue un chapitre de ce qui sera Trouver ici, le volume faisant suite au Livre des cabanes1. Dans un entretien récent, Jean-Marie Gleize a établi un rapport d’opposition entre cabane et demeure : « l’important est de se déplacer, de faire en sorte que la cabane ne se transforme pas en demeure. …
Jean-Marie Gleize : Littéralité / Le Théâtre du poème vers Anne-Marie Albiach
par Emmanuèle Jawad Littéralité rassemble les essais de Jean-Marie Gleize publiés entre 1980 et 1990 dans un livre essentiel d’écriture critique. Deux sections le structurent, une première sous le titre Poésie et figuration, une seconde intitulée A noir. Poésie et littéralité. Une préface de Christophe Hanna situe remarquablement ces deux volumes de Jean-Marie Gleize …
Jean-Marie Gleize : Le livre des cabanes
par Sébastien Goffinet L’échinoir de la prose Jean-Marie Gleize – il le revendique – n’écrit depuis longtemps qu’un seul et même livre. Le livre des cabanes ne déroge pas. Il suffit donc de renvoyer aux entretiens que J.-M.G. a accordés ici et là1 pour diriger vers quelques éléments de la « poétique » gleizienne. Ce qui …
Jean-Marie Gleize : Le livre des cabanes
par Bertrand Verdier Carnac, entre le 29 août et le 2 septembre 2015 Cher Denis, Oui, à propos du livre de Jean-Marie, tu as bien raison : Le livre joue du mélange, de l’alternance des proses et des séquences de vers ; de l’affrontement des proses poétiques et des proses de journal intime, presque fondues dans …
Jean-Marie Gleize : Sorties
par Stéphane Baquey Une insistance… Mais au-delà du désastre présent, quelle est la certitude qui engage Jean-Marie Gleize dans un tel dépouillement ? Sa nécessité est obscure, « travail aveugle ». Tout ne semble se soutenir que de la force d’une révolte. Ainsi se terminait une recension critique de poésie – ma première, en 1995, dans la …