par Patrice Corbin Si c’est une femme Pour mémoire est une langue de la disparition, de la déshumanisation, une langue charnelle où se structurent les « mots-plaies », une langue de l’horreur concentrationnaire, des mots qui s’épuisent sous le diktat de la dictature militaire en Argentine. Il ne s’agit pas d’un récit, pas même d’une plainte …