par Christophe Stolowicki 272 + 352 = 624 pages, peu de blanches, de proses (J’avais bien mille vies…) et de poèmes (Le visage de l’œil), en deux recueils de « l’un des plus grands écrivains européens contemporains [qui] a reçu les plus hautes distinctions littéraires aux Pays-Bas, en Allemagne, en Autriche et en Espagne […] …