par Christophe Stolowicki Dépouillée, ponctuée des seuls blancs de ses laisses et des encres de Motoko Tachikawa – de politesse exquise hésitantes pastilles tachistes, auréoles arachnéennes qui se suspendent – une poésie incisive douce entaille par touches matutinales, sans l’effet de manche d’un rejet ni d’un enjambement, vers à vers le mors saisit le …