par Jean-Luc Bayard Le second livre de Stéphane Sangral commence sur le lieu du premier1 : après une préface (ici d’Alain Berthoz sur « la conscience réflexive »), c’est la même dédicace, puis la même épigraphe obscure qui, pareillement, explose en ses lettres dont chacune s’épingle, tour à tour, à un poème du recueil, pour en fixer …