par Daniel Lequette Pourquoi l’auteur de Todesfuge (qui connaissait le français et l’hébreu) use-t-il de la langue des bourreaux nazis (et donc d’une certaine manière contribue à son rayonnement), dans une œuvre dont l’extermination des juifs constitue le foyer ? En creusant cette question, Stéphane Mosès montre comment Paul Celan met la langue allemande à …