par Matthieu Contou « Le mystère d’une âme est inséparable du mystère d’une langue et du mystère d’un style »1. Telle est la conviction, faussement triviale, qui justifie que Pierre Brunel ait choisi de sous-titrer cette « étude stylistique du “Bateau ivre” »2 par « ces simples mots : “Un texte. Une voix.” »3. De simples mots, en effet, mais …