par Siegfried Plümper-Hüttenbrink Rarement une vie fut aussi tragique que celle de Pier Paolo Pasolini. Marquée du sceau de la malédiction, elle semble s’être jouée dans un film qu’il fut le seul à visionner. Una vita violenta, faite de bruit et de fureur, et qu’un catalogue paru dans la foulée d’une exposition1 tente de …