par Michéa Jacobi Moi qui n’ai jamais lu de romans de Jim Harrison (Combien de fois me les a-t-on recommandés cependant ?), voici que j’avale à petits traits ses poèmes, un shot d’amerloque page de gauche, une lampée de français page de droite. Voici que, suivant les prescriptions de l’auteur dans sa préface, je tâche …