par Véronique Vassiliou Car la poésie n’est pas ma forme1 Qui a lu Elfriede Jelinek sait de quel bois elle est faite. Un bois sec, tendu, noueux. Je n’avais lu que ses romans, sa prose en corde raide, défaite de toute ondulation séductrice, trempée dans le polar. Une écriture à rebrousse-poil qui ne laisse …