par Jean-Pierre Bobillot Pour leurs traductions du russe en collaboration1, René Ghil demandait à Alexandra de Holstein, non seulement de lui fournir un premier jet en français, mais de lui lire à haute voix l’original, afin d’élaborer, dans la langue-cible, un texte restituant au plus près, outre le signifié, la forme même du signifiant, …