par Mathilde Azzopardi Dans cette « lettre de Tanger », Aurore Claverie révèle l’image apocalyptique d’une cité aux splendeurs tout juste éteintes où, dans le souvenir des nuits de plaisir et de jeu, les yeux s’ouvrent sur des visions de cauchemar : fureur destructrice et incendiaire des hommes en djellabas, danses macabres des femmes dans les charniers. Un …