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Yannick Torlini : camar(a)de / Un matin tu t’es assise

  Par Christophe Stolowicki Le salut par la langue En deux versions, à deux versants, aux deux modes respiratoires du verset et de l’irréversible, sanglées à l’identique de mortvie deux plaquettes complémentaires très (dis)semblables d’un jeune poète donnent une idée de l’étendue de son registre, de sa tessiture de Janus bifax. Dans l’une de page …

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