par Christophe Stolowicki
Par bribes d’un disparate vitrifiant l’oxymore, une consolante plutôt déferlante d’énièmes rugissants improbablement électorale, tel un Argus du cannibalisme ¹ ou d’isthme en isthme une pétarade de Littéralicismes ². Philosophie rongée à l’os, putréfiée la controverse, dans une mêlée de registres et de modes narratifs Dada bientôt centenaire se réincarne en un radiophoniste musicologue injectant en performance son dévolu dans la matière en gageure la plus antipoétique, des « formatages » de la presse politique parlée essorant le jargon. Du débat passé à l’écumoire, slogans désaccordés, quelques échantillons de gangue plus précieux que pépites. Le discours ébarbé de son droit quand « la citoyenneté enfarine », de l’argument sur sa portée happée la soufflerie de « contrechant ». À l’encontre des « monostiches doux gosillés de leur suspens » une poétique tout en trouvailles de liesse³ tire à boulets blancs sur l’ambulance du poétiquement correct.
1. Publie.net, 2011.
2. L’attente, 2010.
3. Points de suspension entre parenthèses rétractés à un seul, sections « b » et « c », chapitre « II » fondus dans la masse de la criante absence d’un début.