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François Bordes : Le logis des passants de peu de biens précédé de L’âge obscur

  par Alain Helissen Ce sont là, pour commencer, quelques poèmes extirpés d’un « âge obscur », daté de 1993-1998, que délivre – faut-il rajouter enfin ? –­ François Bordes dans la première partie du recueil. Des poèmes, précise-t-il « en guise de salut », écrits dans une ville sombre et sans rivière. En conséquence de quoi  « La langue s’assécha. …

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