par Christophe Stolowicki Dans un martial porte à faux, un poète sicilien taille dans la canicule des médaillons dont la ciselure dérobe le mirage : vignettes à l’emporte-liesse. Les dieux sont là. Enfouis deux millénaires et des poussières dans leurs urnes dont la cendre projette quelques halos opaques dans le ciel implacable, ils dressent dans …