par Narciso Aksayam Toujours ce cruel manque d’homophonies qui nous ôte d’apprécier les saveurs ni la musique de cette œuvre ni son articulation esthétique avec la civilité contemporaine japonaise d’où elle nous l’extrait en bilingue sur « bouffant Munken », si pâle papier à la police sobre qu’il traduit peut-être lui-même davantage la fadeur de cru …