par Marie-Florence Ehret Peut-on dire que c’est de l’« inexactitude foncière » que parlent ces poèmes ? Inexactitude de la poésie, des mots, de l’exil, de la vie ? Ou de l’impossible séparation du dehors et du dedans ? De « la lame fine, lisse désir, couchée dans les eaux denses, noires du non-écrit » ? Une poésie qui pose la contradiction : …