par Déborah Heissler Se taire. Ne pas raconter, énumérer, conter, totaliser l’échéance, l’histoire, toutes les histoires qu’il serait possible de raconter. Dans Sous la cendre seule importe la « voix » à partir de bribes de trames passagères ; une « voix », des « voix », qui puissent s’ouvrir à la dimension essentielle du regard, dans l’oscillation de ce contact …