par Monique Petillon Depuis Petits poèmes en fraude (Gallimard, 1980), Richard Rognet compose une poésie à la grâce furtive, nourrie de réminiscences de Verlaine et d’Eluard. Ce sont des tristesses murmurées dans des formes brèves et fluides. C’est une harmonie inquiète dont témoignent les titres – Recours à l’abandon (1992) ou Dérive du voyageur …