par Alain Helissen Peintre lui-même, Philippe Fretz s’est sans doute inspiré de sa propre expérience pour créer le personnage principal de son livre, un dénommé Jérémie Carter, artiste de son état. Le vestibule des lâches est présenté comme un conte moral. Aux premières pages de ce micro-roman, Jérémie Carter assiste à un vernissage, prétexte …