par Monique Petillon Dans cette anthologie personnelle, Olivier Barbarant fait entendre, au cœur de ses « essais de voix », la plénitude sensorielle et l’effusion sentimentale : « Moi qui n’ai jamais cru qu’au pouvoir du frisson » dit-il, ému par des vers de Racine. Mais redoutant les « mièvreries », il oscille toujours entre élan lyrique et hésitation critique, ce …