par Jean-Charles Depaule Prosaïsme, dirait-on : comme la plupart des poètes arabes de sa génération l’Egyptien Mohammed Abu-Zaïd, qui est né en 1980, parle de la vie de tous les jours, ou, plutôt, de ce qu’il reste, tout déglingué, d’une vie qui s’est éloignée. Il en parle dans une langue minimale, linéaire, où reviennent, au …