Par Jean-Pierre Bobillot Comme Valentine de Saint-Point, qui la précéda de peu1, Mina Loy connut un étrange destin : une brève période de création exacerbée et de fréquentations « avant-gardistes » (toutes deux se frottèrent au futurisme), puis une longue « retraite » à l’écart des milieux artistiques et, plausiblement, des préoccupations qui furent d’abord les siennes. Toutes deux, …