par Mathias Lavin Pour approcher cet Animal central, à défaut de l’apprivoiser tant il est protéiforme, peut-être faut-il commencer par évoquer ses marges. La quatrième de couverture nous indique ce que serait la généalogie idéale de l’auteur : « Rimbaud-Artaud-Novarina ». Ce trio n’a rien d’écrasant, il permet d’indiquer une fraternité d’écriture tout à fait convaincante après …