par Christian Travaux Sa prose est condensée, densifiée, saturée d’images. Il n’est pas simple de la lire, sinon s’aventurer dans le labyrinthe du langage, où les mots bougent, et fluctuent, tendent des visages qui portent des masques, ont des doubles, font des vagues, jouent et scintillent, se font souple pays d’images. Ses mots nous …