par Alain Cressan « Derrière la garde-robe, il y a une ville / à tiroirs ». Ainsi s’ouvre le livre de Mizón : tiroirs d’un « imaginaire onirique »1 est-on tenté de penser, dans les mouvements brusques du lexique, comme dans un langage-rêve où s’entrechoqueraient les idées, les mots : « je ne suis que la maison de mes paroles / …