par Jean-Luc Bayard L’écriture s’avance sur les points de fragilité. Déchirure d’une ombre, tremblement du corps, ou cataclysme, elle rend compte de l’état du monde, maintient, coûte que coûte, la jonction entre l’universel et l’intime. Tous les livres de Jacqueline Merville poursuivent cet affrontement, par la recherche d’une nouvelle verticalité, sur les ruines parfois. …