par René Noël Prynne ouvre sa main – sa lettre poème livre, à lui-même et au lecteur, les chiffres qui l’animent –, courbe, trajet du je, qui de loin et du ciel peu à peu, descend. L’axe, proche du canal, alors que le flot frôle feuilles et habitations débouche sur deux visions de l’art …