par Yves Boudier « aucun souvenir aucune peur / j’aurai la paix de l’ondoiement » écrit le poète oiseleur aux chemins croisés d’une forêt aux pentes fabuleuses que dévalent neiges et sources vives, nuages et ciels de nuit, corps et âmes de femmes et d’enfants, eaux marines et sang noir, du passage secret de la solitude …