par Christophe Stolowicki En poèmes dédiés à ses morts encore jeunes par leur traducteur connu, de ses pores d’attache un exilé filtre la vase aurifère. En rondeaux contemporains déliant leur boucle d’un coup de hache dans le dégel, en villanelles condensées d’agencement subtil, cadence flamberge en dedans, prouesses de bouts rimés épelant les voyelles …