par France Burghelle Rey Le prologue mis en place par Benoît Conort dans son dernier opus poétique a pour incipit l’infinitif « consentir » associé à un espace et à un langage qu’il faut à la fois apprivoiser et mieux connaître. La parole personnifiée, puisque elle est « nue », résiste et précipite le paradoxe entre deux thèmes …