par Sébastien Hoët Emmanuel Echivard donne ici son premier recueil, un recueil beau et mélancolique qui résonne mat et durable : la trace dont il est ici parlé est bien plus qu’une trace, c’est-à-dire qu’une empreinte laissée, abandonnée, par une présence qui a disparu, s’est effacée de ce qui en reste. La trace palpite en …