Par Siegfried Plümper-Hüttenbrink Si déplaisant que cela puisse paraître, tout éditeur peut se découvrir une vocation de nécrophage. Dénicher des reliquats en farfouillant dans les fonds de tiroirs familiaux est une aubaine dont on aurait tort de se priver. Et la publication d’inédits de Colette Peignot (qui avait choisi le pseudonyme de « Laure …