par Claude Favre Ouvrant le livre comme on s’approche d’une présence absente, ou bien l’ayant doucement refermé comme la porte d’une pièce où repose un être cher, n’ayant plus d’envie que de se taire, tant de silences ce livre est beau, comment dire. L’origine du mot silence est obscure. Et chaque silence écrit ici …