Par Emmanuelle Pireyre Le soupçon qui a atteint l’énonciation du vrai en littérature depuis la seconde guerre mondiale fait en général préférer la première personne du singulier ; Christophe Fiat, lui, invente une manière de remettre en service la troisième personne, assez fine et rigoureuse pour que les acquis du doute n’en soient pas pour …