par Marie-Florence Ehret
Bon j’avoue, je n’ai pas réussi à lire tout ce que Nathalie était, est, sera et serait, en quatre chapitres... Toutes ces phrases dont « Nathalie » est le sujet sont-elles réellement extraites de Google comme le prétend le quatrième de couverture ? Peut-être.
Impossible cependant de m’intéresser à cette longue et fastidieuse énumération.
Nathalie était la voix de Nakoma, Nathalie était inscrite sur la liste d’attente, Nathalie était... sur des pages et des pages, avant de devenir, Nathalie est sur tous les fronts, Nathalie est comme moi, Nathalie est moins optimiste, Nathalie... Et moins longuement encore : Nathalie sera ministre de la mode, Nathalie sera technicienne, Nathalie sera heureuse de recevoir vos appels... et enfin en une seule double page, Nathalie serait-elle gavée de poésie ? Nathalie serait-elle plutôt Charlotte ? Nathalie serait Parfaite ? Nathalie serait parfaite (mot de la fin)
Être lu n’est peut-être pas le but de ce livre.
Faire penser ? Faire rire ? Ou... ?