« une collection d’essais textuels et visuels basée sur l’exposition Celebration of the Body organisée en 1976 par Ingrid et Iain Baxter (N.E. Thing Co.) à Windsor, Canada, et sa réactivation en 2012 en trois actes […] Dans une série de conférences-performances, vingt et un artistes et commissaires ont expérimenté différentes stratégies de reprise » (4^e de couv.). « étude sur le re-enactement. Plus précisément sur les implications et les enjeux de réactivations qui s’attachent à des expositions et des performances qui n’ont pas eu de reconnaissance historique » (p. 11). « contribuer à une historiographie du mineur, concernant ce qui, pour différentes raisons, résiste à son inclusion dans les grands récits historiques⁵. » (p. 12) « Fragmentée, désordonnée, cette écriture [de Sylvia Plath] refuse de se plier aux normes esthétiques d’intégration et d’unité » (p. 206). « l’art est devenu une forme d’histoire de l’art qui est devenue une forme d’histoire des expositions » (p. 348), « L’exposition est basée sur la copie, l’extension, le plagiat. Elle donne une visibilité aux stratégies d’artistes qui décident de remplacer l’original par la copie dans une visée désacralisante, et donc aux procédés qui participent du même coup à un certain mouvement de l’information et à une dissémination des images (la reproduction, le livre, l’internet) » (p. 355). « une reconnaissance du caractère conditionné de toute interprétation⁴⁶ » » (p. 390).