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Ariane Dreyfus : Moi aussi

  par Antoine Emaz Cette collection a pour objectif louable de proposer aux élèves une anthologie conséquente d’un poète d’aujourd’hui, qui choisit et présente ses propres textes. Il n’y a aucun autre accompagnement didactique ; le volume ressemble donc à une anthologie personnelle. Ariane Dreyfus a délaissé l’ordre chronologique de publication pour une distribution en huit …

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Phoenix

  par Antoine Emaz Le numéro s’ouvre sur un dossier consacré à Jacques Lèbre, d’une soixantaine de pages. Des inédits : une suite de notes (Le murmure de la forêt) et des poèmes (Air), suivis d’un entretien avec François Bordes portant sur le parcours d’écriture. Et cinq contributions critiques d’ A. Lévêque, J.-P. Lemaire, C. Florentin, …

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Caroline Sagot Duvauroux : ’j

  par Antoine Emaz Interroger l’absence. Dès le premier poème, monostiche, noir sur blanc, seul sur la page : « L’absence peut-elle ». Cette question initiale se ramifie ensuite, se décline, rebondit au fil des trente premières pages, lancine : « L’absence peut-elle être l’instance ? », « … peut-elle être la préséance ? », « … peut-elle nommer je, tu ? », « … peut-elle affranchir la présence …

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Antoine Emaz : De peu

  par Ludovic Degroote On reconnaît d’emblée l’écriture d’Antoine Emaz : c’est le signe d’une poésie dont la singularité – ce qui ne veut pas dire originalité au sens où elle chercherait au moyen de procédés extérieurs à se construire par différenciation mais ce qui signifie qu’elle est intrinsèquement ce qu’elle est, sans autre choix que …

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Bruno Krebs : L’île blanche

  par Antoine Emaz Depuis Raison perdue en 1996, Bruno Krebs poursuit son exploration de la vie en rêves. On notera l’évolution des sous-titres : « récits » pour les premiers livres, « fragments » ensuite, et pour cet ouvrage, « poésie ». Si le dispositif varie peu, une forme de bascule dès la première page à travers le miroir ou derrière …

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