Par Michel Ménaché Marie Huot1, de recueil en recueil, dit « la dure joie d’être » dans un monde où le vivant cultive sans prévention l’osmose et les métamorphoses par delà les espèces. L’auteur met en mots les éclats d’une mémoire qui emprunte à sa vie comme à tout le règne animal des sensations, …