par Thibaud Coste La poésie n’a pas peur des lieux communs ; aussi s’attache-t-elle à faire du commun, précisément, son lieu. Ici, ce sont les terrasses des cafés, les comptoirs des bars, les nuits de Port-au-Prince. Les verres se vident au fil des pages, des paroles crues sont échangées, l’alcool masquant si mal un malaise …