par Sébastien Hoët C’est à un passionnant défrichement des littératures tchèques que se livrent les éditions Fissile. Jakub Deml renvoie au placard tout ce que nous lisons aujourd’hui en matière de romans ou d’« autofictions » : voilà un écrivain mort dans le plus grand dénuement en 1961 mais qui n’a jamais rien cédé à l’occupant allemand …