par Jean-Luc Bayard C’est d’abord le titre qu’on reçoit, on s’arrête à lui, on l’arrête aussi, pour le dénouer peut-être, le comprendre, en sa manière d’oxymore. Tombées des lèvres fait jouer, et peut-être échanger, ce qui tombe et ce qui lèvre, ce qui chute et ce qui parle, ce qui trouve naissance ici-bas, pieds …