par Sébastien Goffinet Récrivant sans le transposer le mythe grec d’Achille, Marie Richeux déclare sa flamme au poème. Et pas seulement à L’Iliade : elle prouve qu’au-delà de la mort promise à tout être vivant, seul le poème, celui qui dit les noms, les prénoms, celui des paroles inassujetties de l’oracle, est en mesure « aujourd’hui …