Archive

Luc Bondy : Toronto

  par Daniel Lequette Pour Luc Bondy, le moment où l’on perçoit le plus intensément le monde c’est celui d’après ce qui aurait pu être un instant de plénitude, si on l’avait perçu, celui du dessaisissement, un dessaisissement parfois ténu comme un chant d’oiseau matinal qu’on interrompt en ouvrant un rideau mais qui vous plonge …

Lire la suite