par Hervé Laurent C’est sur l’ancien sentier des Douaniers, entre Roquebrune et le Cap-Martin que j’ai véritablement compris le sens du mot Côte d’Azur. Le ciel était lapis-lazuli et la mer cobalt1, remarque Célia Houdart. Ainsi, ce qui s’annonçait comme un pèlerinage laïc à un sanctuaire de la modernité architecturale, ramène la promeneuse au …